
Splendeur implacable de la lumière, de la chaleur
Vies. Fluides. Heurtées et chaotiques.
Loin. Lointain sublime et inaccessible.
Vies, bouillonnantes et misérables, humaines.
Inaccessibles. Beauté qui me laisse au-dehors.
Réalité encore plus irréelle que le quotidien.
D’autres vies que la mienne.
Il n’y a que d’autres vies.
Et la mienne, sans existence.
Réalités qui défilent sous la route brûlante
Pensées qui s’entrechoquent et seront perdues à jamais
Moment de souvenir, pour retenir les mots disparus
Les rappeler, et rappeler le déroulé fragile du beau
Mais le sable est loin, les maisons mi-construites,
Les vies qu’on ne voit qu’une seconde
Les éclats de réel.
Irréels.
Sourire poétique
Contre le besoin trop présent d’expliciter.
Justifier, décrire.
Un seul mot, une phrase, pour décrire :
La Condition humaine.
Autrefois, avec parfois les mots des autres, j’ai su être concise.
Toujours un loisir
Quelque chose à faire
Pour ne pas penser
Brûler de se scruter
Sans détecter de sens
Le sens est dans le faire
Dans l’assister

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