Savez-vous quel est le point commun entre Hannah Montana et Ted Bundy ?
Connaissez-vous Galahad, l’écrivain à la mode, qui écrit des polars sombres et inquiétants, pleins de tortures psychologiques et de tueurs sadiques ?
Avez-vous vu ce monsieur-tout-le-monde se faire enlever par un drôle de facteur, au fond d’une impasse ?
Bienvenue dans la tête d’Arthur Dupont, un mec normal et sans histoire – il dirait même transparent -, qui se trouve secrètement être un écrivain célèbre et, disons-le, probablement dérangé. Exorciser les images qui hantent son imagination, ainsi que sa peur du monde réel et des autres, faire face à un psychopathe qui rêve qu’on lui apprenne à tuer sans se faire prendre… Voilà le synopsis de son dernier bouquin, qui, pour une fois, ne vient pas de son imagination tordue, mais de la réalité – tordue aussi, il faut bien se le dire.
Entre solitude existentielle, besoin d’écrire, pont vers l’autre et polar glauque, La Quête du mal, c’est un voyage intérieur, quand le monde réel vous percute en pleine face.
Je suis tellement contente de pouvoir vous présenter mon troisième roman publié : La Quête du Mal. C’est une forme de réponse à « la distance émotionnelle des autistes », à « Quand notre cerveau nous fait peur ». À la question de vivre dans sa tête ou dans la réalité, dans les histoires ou dans les interactions.
J’ai hâte de savoir, si vous aviez envie de le lire, ce que vous en pensez !

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